Huile de cannabis : la suite…

Cannabis Leaf 2 de Joshua Fox

En 2021 et 2022, j’ai eu deux diagnostiques de migraine. Les deux médecins m’ont dit à peu près la même chose, soit que j’allais devoir prendre des médicaments le reste de mes jours. Le 1er m’a prescrit une poudre1 à 40$ la dose (!) et l’autre, une pilule2 couverte par le régime de santé, à prendre de façon préventive chaque jour. J’ai rien contre les médicaments, mais avaler une pilule au cas où est incompatible avec mon approche de la santé qui consiste, entre autres, à éviter d’absorber du chimique. Quant au 1er médicament, ça m’aurait coûté plus d’argent que j’en fais par année, sans compter qu’un des effets secondaires possibles était — tenez-vous bien — le mal de tête !

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Mes tribulations dans l’univers des huiles de cannabis

Depuis environ un mois, je consomme de l’huile de cannabis pour apaiser et/ou prévenir mes fréquents maux de tête… j’ai eu cette idée en me rappelant que j’en avais consommé y a deux ans et que j’avais moins de migraine à l’époque. Je commandais de Colombie-Britannique un produit onéreux et j’ai cessé d’en prendre en pensant que ça n’avait aucune incidence sur ma santé. Et si je m’etais trompé ?

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C’est ta chatte !

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Automne 2021. La neige avait déjà tout recouvert et je parlais au téléphone avec ma mère. Je me lamentais de ne pas avoir Chicou avec moi, la chatte tricolore que j’ai gardée l’an passé. Prie ! m’a répondu ma mère. Elle est comme ça ma mère ; elle a recours à la prière pour susciter de petits miracles. Comme je fais de la méditation chaque matin, ce n’était pas beaucoup plus compliqué d’adresser une ou deux prières en ce sens.

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Les animaux de ma vie

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé les animaux. Quand j’étais jeune, j’ai harcelé mes parents pour avoir un chien, sans succès, mais j’allais souvent voir celui d’une voisine, Zoom, un samoyède tout blanc qui sentait la poudre pour bébé. Je passais des heures avec lui. Un jour sa maitresse est sortie dans la cour et a pris deux photos de nous et me les a données. J’étais bien content qu’elle ait immortalisé notre amitié.

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Survivre à la pandémie

Harlem, NY, 2012. Photo : Ilki Skygrass.

Comme la plupart des gens, je souffre de la pandémie, même si je suis relativement en bonne santé et que j’ai pas trop à m’en faire de ce côté-là. J’ai eu — semble-t-il — la covid, mais ce fut à peine pire qu’une grippe normale.

Dans mon cas, c’est plutôt l’impossibilité de voyager qui m’affecte. Dans quelle mesure ? Eh bien disons que lorsque je me suis résolu à revenir habiter à Québec, en 2000, j’ai bien pensé à mon affaire et j’en ai conclu que pour y arriver, j’allais devoir en sortir régulièrement. Lire la suite

Message aux générations futures…

cropped-alain-ts-blur-two.jpgJe n’ai pas eu d’enfant. Quand j’étais en âge de procréer, je considérais criminel de mettre des enfants au monde dans cette société pourrie par le capitalisme et polluée par les grandes entreprises. L’avenir m’a donné raison.

Les problèmes de la planète ne datent pas d’hier. Et la vérité, c’est que les générations précédentes s’en sont sacrées comme l’an 40. Aucune génération ne s’est sacrifiée pour les suivantes, me suis-je déjà fait répondre par un baby boomer. Mais c’est un mensonge éhonté. On n’a qu’à penser à ceux qui ont sacrifié leur vie lors des deux grandes guerres mondiales. Lire la suite

Ze Velvet Underground Expérience…

J’avais parlé à Lucie de cette expo sur le Velvet Underground et ça l’avait allumée. Lucie est une curatrice dans le domaine des arts. Dès qu’on prononce le mot expo, elle se met à saliver, comme d’autres lorsqu’on prononce le mot sex. Bref, ça faisait deux jours qu’il pleuvait, autrement dit, une température idéale pour être à l’intérieur. J’attendais devant l’immeuble où ça avait lieu, sur Broadway, dans NoHo. Le temps de faire une photo de la façade, Lire la suite

Conseils et suggestions pour un séjour à New York…

New York a toujours exercé une profonde fascination sur moi. Si ce n’était le cas, je ne lui aurais pas consacré 40 pages dans mon dernier livre. Comme je le raconte, c’est la musique qui m’y a attiré, mais c’est pour son extraordinaire ouverture que j’ai continué d’y aller année après année. J’ai toujours été surpris de voir à quel point ses habitants s’intéressaient à tout ce qui venait de l’extérieur. Cette étonnante ouverture attire les artistes, musiciens, poètes et créateurs. New York se nourrit de leur talent pour se régénérer Lire la suite